Cet article est une tribune de la rédaction concernant le mariage de Faure Gnassingbé souvent invoqué comme un argument politique par les partisans de l’opposition. Il nous a paru nécessaire de remettre les choses à leur place !
Imaginez-vous dans la situation suivante : vous êtes présélectionné pour un entretien d’embauche. Comme tout le monde, vous avez épluché l’offre d’emploi, êtes arrivé à la conclusion que votre profil correspond parfaitement aux demandes du recruteur. Vous avez envoyé un CV, assorti d’une lettre de motivation en bonne et due forme, qui explique, en détail, la plus-value que vous êtes susceptible d’apporter à l’entreprise. Bingo ! Vous recevez un appel. Vous avez su convaincre, et c’est bien ce qu’on vous demande. Vous êtes donc en entretien. Vous avez réponse à tout. Vos qualités et vos compétences ne laissent aucune place au doute. Vous êtes LE profil idéal. Vient le moment de la question fatidique, non sans un préalable hasardeux : « Monsieur, nous sommes très intéressé par votre profil. Il est clair pour nous que vous avez ce qu’il faut pour réussir à ce poste. Mais êtes-vous marié ? ». Surpris, choqué, vous balbutiez quelques mots avant de vous rendre compte du ridicule de la question, ce à quoi vous rétorquez : « mais, Monsieur, pourquoi me posez-vous cette question ? En quoi est-ce pertinent ? » Interloqué, votre vis-à-vis n’a d’autre réponse à vous retourner qu’un minable « je ne fais que suivre les consignes ».
Imaginez-vous donc dans pareille situation. Vous crierez immédiatement au scandale, à la discrimination à l’embauche, et vous auriez bien raison !
Un président marié est-il (forcément) un bon président ?
La réponse est sans appel : non, absolument pas.
Il n’y a rien qui le prouve. Ni dans l’histoire, ni en biologie. Mais il est vrai qu’au Togo, les raisonnements scientifiques ne sont pas forcément ceux qui se colportent le plus. Or c’est un argument publié de nombreuses fois sur les réseaux sociaux : « Moi je veux un président marié, pas un célibataire » et dont la fréquence relève soit de l’ignorance la plus totale, soit de la mauvaise foi et d’une attaque concertée.
Donc puisque nous nous retrouvons à devoir nous poser ce genre de questions, superfétatoires à souhait, poussons le raisonnement un peu plus loin. Ne serait-il pas plus judicieux, à supposer que nous ayons pour seul objectif, pour seule fin, de voir notre beau pays prospérer, de poser la question suivante : qu’a fait le président Faure pour le Togo ?
Après tout, au-delà du mariage de Faure Gnassingbé, c’est la première question qui vient à l’esprit pratique quand il s’agit d’un président d’Etat. Par analogie, l’esprit, disons, moins éclairé (pour rester dans un cadre de bienséance, bien qu’un tel esprit soit de nature à provoquer l’ire des personnes sérieuses et équilibrées), ignorera les faits et répondra, nonchalamment, à l’appel de ses plus basses lubies, mettant en doute les compétences du président togolais à cause d’une malheureuse histoire de mariage…
Eh bien nos valeureux combattants du clavier, vraisemblablement, suivent des consignes, consciemment ou pas. Mais quelle différence. La bêtise est contagieuse, l’intelligence élective. « Nous aimerions avoir un président marié ! », vocifèrent-ils, malheureux inconscients. Le ridicule ne tue pas. On en a maintenant la preuve irréfutable.
Dans le cas de Faure Gnassingbé, l’aberration est encore plus flagrante, criante de bêtise humaine. L’homme a déjà fait ses preuves, à maintes reprises. Et que lui reproche-t-on ? Quelle est le sujet qui revient à la surface ? Le mariage de Faure Gnassingbé ! Cette histoire est en train de tourner au ridicule, au potache. C’est à croire que les opposants du président togolais en exercice souffrent d’un manque blafard d’inspiration, de créativité. Ou peut-être que l’homme est inattaquable sur le terrain du sérieux, et des réalisations…
Un bilan de réalisations exceptionnelles pour un Togo prospère
Mariage ou pas, Faure Gnassingbé est résolument un homme tourné vers l’action. Loin des polémiques stériles, le président du Togo travaille d’arrache-pied pour endiguer les innombrables problèmes du pays, tout en lançant tous azimuts plusieurs projets de développement qui profitent au quotidien à la population togolaise. Citons, entre autres :
- Le Programme d’Urgence de Développement Communautaire (PUDC) : 406 km de pistes rurales construits ou réhabilités, 10 bassins et lacs aménagés et un fonctionnement renforcé en motopompes et pièces de rechange, 629 forages dont 579 équipés de Pompes à Motricité Humaine ont leurs études en cours…
- La transformation de l’économie bleue en levier de développement à travers l’Institut des Métiers de la Mer (I2M) de Lomé ;
- Le nouveau projet de code foncier et domanial pour renforcer la sécurité foncière ;
- Un financement innovant de l’agriculture au Togo via le TIRSAL ;
- La mise à l’abri des populations togolaises à travers la deuxième phase du projet d’aménagement urbain du Togo ;
Et le respect de la vie privée ?
Par quel glissement sémantique en sommes-nous arrivés au stade où un président, personnage public certes, n’aurait plus droit à son intimité, au respect de sa vie privée ? Ne lui demande-t-on pas d’être un citoyen comme les autres ? Est-il acceptable, pour vous, cher Monsieur tout le monde, qu’un étranger, ou un proche, peu importe, vous reproche vos choix de vie ? Mais au-delà de la question du respect de la vie privée, comment en sommes-nous arrivés à ce degré de bêtise, à ce niveau de ridicule ? On ne sait vraiment plus s’il faut en rire ou en pleurer. Ce qui est sûr, c’est qu’il faut s’en défaire, au plus vite. Nous avons un pays à construire, laissons aux bras cassés et autres incapables le soin de commenter. Les valeureux n’ont point de temps pour l’infamie. A bon entendeur.
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