Les partenaires bilatéraux et multilatéraux du Togo n’ont pas manqué de saluer les résultats engrangés par le Président de la République SEM Faure Essozimna Gnassingbé, qui s’est engagé ces cinq dernières années à consolider davantage les acquis de sa gouvernance économique et sociale. Le point.
Togo : le seul pays en Afrique à voir augmenter son indice relatif à la qualité de la politique fiscale
Le rapport 2020 de la Banque Mondiale (BM) sur l’évaluation des politiques et institutions nationales en Afrique est on ne peut plus élogieux sur l’évolution positive du Togo, sous le leadership éclairé du chef de l’Etat Faure Gnassingbé. Par exemple, en ce qui concerne la qualité de la politique fiscale, le rapport note que le pays est le seul en Afrique qui a vu son indice augmenter. En parallèle, la note moyenne dans le reste des pays du continent reste sensiblement identique à celle enregistrée en 2016.
Il en va de même pour l’évaluation des politiques nationales de lutte contre l’exclusion sociale et la promotion de l’équité, un domaine dans lequel le Togo s’est également illustré, totalisant un score de 3,6. Il faut savoir que cette note est au-dessus de la moyenne en Afrique subsaharienne fixée par l’Association internationale de développement (IDA).
Ne s’arrêtant pas en si bon chemin, le pays a aussi réalisé des avancées considérables en matière de promotion de l’égalité des sexes, de l’équité dans l’utilisation des ressources publiques, de valorisation des ressources humaines et de protection sociale de la main d’œuvre. Rien que ça !
Togo : le processus de développement est en marche
Ces performances exceptionnelles réalisées par le Togo ne font que témoigner, une fois encore, de la qualité des efforts réalisés par le pays, notamment au niveau de son processus de développement économique et social. C’est effectivement ce qu’a relevé l’évaluation des politiques et institutions en Afrique (CPIA), un outil de diagnostic annuel de la qualité des structures politiques et institutionnelles nationales des pays d’Afrique subsaharienne, ainsi que de leur capacité à soutenir une croissance durable et à réduire la pauvreté.
Rappelons enfin que dans le cadre de la CPIA, les pays sont notés sur une échelle de 1 à 6 (1 étant la note la plus faible et 6 la note la plus élevée) pour 16 indicateurs regroupés dans quatre catégories : la gestion économique, les politiques structurelles, les politiques d’inclusion sociale et d’équité, et la gestion des institutions du secteur public.